PLAN IGN
Outdoor
Vous voilà prêt à attaquer les routes et cols empruntés régulièrement par les coureurs du Tour de France – là où ont eu lieu des combat inoubliables, des défaillances, des attaques de légende….
Sentier en balcon à la découverte des anciens hameaux d’estive du Queyras.
En haut du parking, suivre l’épingle à gauche et à la sortie prendre immédiatement la route qui monte à droite. Suivre cette route jusqu’à ce qu’elle devienne terreuse.1 - De là, tourner à gauche et emprunter une piste en faux-plat montant. Laisser une bergerie sur la droite et continuer la piste qui devient descendante.2 - Rejoindre une cabane, prendre à droite la piste qui se réduit rapidement et conduit au fond du vallon au hameau oublié des Bertins.3 - Rejoindre le GR®58, tourner à gauche et prendre le single. Dans un premier temps, suivre le fond du vallon, puis rejoindre le flanc de montagne gauche pour continuer en balcon. Croiser le hameau de Malrif et après un passage technique (portage possible) retrouver un single en balcon. Rester à flanc de montagne jusqu’à rejoindre Abriès et le parking.
Office de Tourisme du Guillestrois-Queyras : 04 92 46 76 18
Du même parking, il est possible de se rendre à pied aux Bertins par un sentier plus bucolique. Suivre l’itinéraire décrit au-dessus. Au niveau de la grande épingle à droite sur la piste prendre le sentier à gauche et rejoindre directement le Tirail. De là prendre à droite, monter, atteindre le canal neuf, tourner à gauche et suivre le canal jusqu’aux Bertins.
Le Parc national est un territoire naturel, ouvert à tous, mais soumis à une réglementation qu’il est utile de connaître pour préparer son séjour
Parking de l'avenue du Bouchet
Atteindre Abriès, se garer à gauche juste avant le pont du torrent de Bouchet.
Abriès
Une découverte des anciens hameaux d’estive des paysans d’Abriès. Vous cheminerez le long d’un sentier en balcon, surplombant le Guil et situé au cœur d’un site classé Natura 2000.
Abriès
PLAN IGN
PHOTOS AERIENNES / IGN
CARTE DES PENTES (PLAN IGN)
Comme toute les sauterelles, la grande sauterelle verte à des grandes et fines antennes. Elles peuvent atteindre jusqu’à 3 fois la taille du corps. Par opposition, les criquets ont des antennes courtes et articulées. La grande sauterelle aime les milieux ouverts, les près, les broussailles, les buissons... Mangeant à l’occasion des végétaux, elle se nourrit principalement d’autres insectes, de chenilles et de larves, ce qui la rend très utile pour les jardiniers !
Au printemps, les chamois quittent la forêt qui les a nourrie et protégé durant l’hiver. Ils remontent progressivement à la recherche des premières touffes d’herbe. Les mâles retrouvent leur vie solitaire qu’ils mèneront jusqu’au rut (début novembre). Quant aux femelles, elles s’isolent courant juin pour mettre bas. Elles préfèrent les crêtes et les lieux escarpés et difficiles d’accès ou les prédateurs auront du mal à venir. Après une semaine la femelle et le cabri rejoindront la harde.
Communément appelé gendarme, soldat ou suisse, cette punaise inodorante mesure environ 1cm. Elle vit par petits groupes souvent au pied d’arbres et se nourrit essentiellement de graines. Elle peut aussi manger des œufs d’autres insectes et même des insectes morts. L’accouplement se produit au printemps, il est remarquable du fait qu’il dure de nombreuses heures. On observe facilement les individus se déplacer collés dos à dos lors de l’accouplement. La femelle pond entre 50 et 60 œufs dans un terrier qu’elle creuse dans une zone humide. Les larves éclosent en mai et deviennent adulte au début de l’hiver.
Usage médicinale, vannerie, manche d’outil… les saules ont de multiples utilisations. Un emploi commun aux environ 360 espèces de saules est l’ « eau de saule ». Excellente pour le bouturage, le marcottage ou pour renforcer des arbres faibles, l’eau de saule est aujourd’hui remplacée par l’auxine. 2 fabrications sont possibles : écraser des rameaux et les laisser macérer dans de l’eau (24h). Où laisser des boutures de saules 5 à 6 semaines dans de l’eau. Après ces 5 à 6 semaines, les boutures sont prêtes et l’eau est devenue un gel glissant idéal pour le bouturage.
Par gravité, l’eau s’infiltre. Il arrive qu’elle passe dans des zones réchauffées par l’activité volcanique. L’eau se chauffe, dissolve les minéraux qu’elle transporte et se charge en dioxyde de carbone. Allégée par le dioxyde de carbone, elle remonte et récupère des minéraux. Une fois à l’aire libre, la réaction chimique (fort taux de CO2, air, mouvement de l’eau) permet au calcaire de se déposer sur tout ce qu’il touche. Placez stratégiquement un objet quelconque pendant plusieurs mois dans cette eau, il sera pétrifié.