PLAN IGN
Outdoor
Vous voilà prêt à attaquer les routes et cols empruntés régulièrement par les coureurs du Tour de France – là où ont eu lieu des combat inoubliables, des défaillances, des attaques de légende….
Après le Crêt de la Vigoureuse, enchaînez sur le point culminant du Haut-Jura et ses 1495m d’altitude, en traversant les pistes de ski alpin de Lamoura. D’ici, le massif du Mont-Blanc semble presque à portée de baskets ! /!\ Une partie de l'itinéraire (accès au Crêt Pela) est soumis à reglementation et n'est pas accessible du 15 décembre au 15 mai. Voir topo pour plus d'informations.
Suivre le circuit trail n° 12, balisage rouge.Depuis LAJOUX, l’itinéraire traverse le village en direction de Mijoux, en passant devant la Maison du Parc.
À Route Royale, poursuivre tout droit. La route monte franchement et rejoint une pâture (passage VTT). Le chemin se poursuit agréablement jusqu’à Trécombe.
Obliquer à gauche par un chemin d’exploitation, rocailleux, terreux et vallonné. Déboucher dans le pâturage et descendre dans la combe à gauche (chemin enherbé) sur 300 m et trouver à droite l’intersection la Pièce du châtelain.
Le sentier enherbé traverse le muret pour remonter à travers un pâturage en lisière de forêt. Accéder à une route à la Sermangindre (chalet) et poursuivre le sentier parallèle à la route à travers plusieurs pâturages jusqu’à La Pièce d'Aval.
Remonter la route à gauche sur 300 m puis poursuivre, à droite, jusqu'à l'intersection Les Thoramys.
Prendre à droite direction POINT DE VUE DU LAC
/!\ à partir de ce point, l'itinéraire est interdit du 15 décembre au 15 mai. Durant cette période, l'itinéraire doit se faire en aller retour.
poursuivre jusqu'au CRET PELA, point culminant du parcours avec son panorama sur le Massif du Mon Blanc.
Revenir sur ses pas jusqu'à l'intersection Les Thoramys et prendre la direction Lamoura jusqu'au poteau Sur le Lac.
Descendre faire le tour du lac de Lamoura et revenir à l'intersection. Partir à droite jusqu'à la route puis prendre à gauche et poursuivre jusqu'au Crêt de la Vigoureuse.
Continuer jusqu'à la route, la prendre sur la droite jusqu'à Chez Gauton.
Continuer sur le chemin qui redescend jusqu'au village de Lajoux par la route sur les champs. Revenir au départ, par la route, à gauche.
Parking de l'Office de Tourisme de Lajoux
A 20 km à l’est de Saint-Claude par la D 436 en passant par Septmoncel.
Située sur les « Hautes Montagnes » qui s’élèvent sur la rive droite de la Valserine, en face du col de la Faucille, la commune de Lajoux a longtemps été constituée de chalets épars et de petites granges disséminées au gré des pâturages ou à proximité de quelques arpents de terres labourées. Les habitants tiraient leurs revenus de la fabrication des fromages. Ce circuit vous conduit de forêts en pâturages et vous fait découvrir ces chalets d’estive.
Lajoux
Lajoux
PLAN IGN
PHOTOS AERIENNES / IGN
CARTE DES PENTES (PLAN IGN)
La Maison du Parc, siège du Parc naturel régional du Haut-Jura, remarquable par son architecture et ses façades tavaillonées, propose une découverte du territoire à travers une exposition, des projections et la visite d’un grenier fort. L’exposition entraîne vers chacune des dimensions du Haut-Jura, dans une ambiance colorée, moderne et interactive: les paysages, la nature, les savoir-faire et les industries, le tourisme,l’agriculture et la forêt. La balade sonore propose un moment inattendu, poétique et imagé, pour pénétrer la nature haut-jurassienne par ses sonorités exceptionnelles. Enfin, deux films paysagers remarquables et récents, l’un consacré à la géologie du massif jurassien et l’autre, aux tourbières, complètent et illustrent la visite.
Caractéristique de ces milieux, la Gentiane jaune ou grande gentiane vous accompagnera tout au long de cette randonnée. Un détail amusant: écrasez entre vos doigts les fruits de la Gentiane, reconnaissez-vous cette odeur? C’est celle des petits pois.
Le chemin sur lequel vous vous trouvez est la Route royale ou Route du sel, qui reliait Saint-Claude à Genève par Mijoux et Gex. Le Jura vendait alors à la Suisse le sel de Lons-le-Saunier. La route a été construite en 1742 par les corvées: impôts payés en journées de travail.
L’étroite Route royale, avec ses courts lacets en à-pic, jugée trop dangereuse a été remplacée au début du 20ème siècle par l’actuelle route entre Lajoux et le col de la Faucille.
Les forêts du Haut-Jura, qu’elles sont belles et naturelles … Naturelles? Pas tout à fait: elles portent l’empreinte de l’Homme qui les exploite depuis des siècles. Ici, on «jardine» la forêt: les arbres mûrs sont récoltés en priorité, la diversité des essences et des âges est préservée, et la forêt se régénère d’elle-même. Un savoir-faire local au service d’une filière bois diversifiée (menuiserie, construction, boites à fromage, tavaillons, jouets, bois de chauffage …).
Impossible de s’approcher d’une forêt un matin de printemps sans entendre cette grive. Son chant puissant est essentiellement construit sur de cours motifs qu’elle répète deux ou trois fois. Son nid est construit dans la fourche d’un arbre.
Vous vous trouvez ici à 1200 mètres. L’altitude conditionne la composition de la forêt selon les préférences de chaque essence. Les deux résineux principaux de cette forêt sont l’épicéa et le sapin. Quelques petits trucs permettent de les distinguer. Saurez-vous les reconnaître? L’épicéa à l’écorce brune et aux aiguilles rondes, le sapin, au tronc plus gris avec des aiguilles plates d’un vert soutenu.
Vous trouverez facilement des fourmilières de fourmis rousses dans cette clairière. On dit que 2000 espèces d’insectes peuvent vivre dans ces nids. Certaines profitent de la fourmilière sans lui nuire, d’autres la parasitent. Ces amas de brindilles servent aussi de garde-manger au pic noir qui se régale de fourmis. Cet oiseau, pour trouver des larves, creuse également des trous dans les troncs. Ces derniers, une fois abandonnés du pic, servent de gîte à la chouette de Tengmaln.
Les murets en pierres sèches dessinent depuis des siècles les paysages jurassiens. Ils délimitent les parcelles, marquent la frontière entre France et Suisse, bordent les encloses (prés) de fauche ou les potagers, encadrent les «vies» (voies). Édifiés sans liant, les murs en pierre sèche relèvent de pratiques constructives ancestrales. Éléments emblématiques des paysages aujourd’hui, ils sont aussi des lieux de vie remarquable pour une faune et une flore diversifiées.
Point de dieu grec dans ces parages, mais un papillon rare et protégé qui affectionne les pelouses fleuries du Haut-Jura ! Sa chenille se développe sur les orpins (de minuscules plantes grasses), et donne naissance à un fabuleux voilier blanc ponctué de rouge. Si l’Apollon est farouche, il se laissera peut-être admirer au sommet d’une centaurée ou d’une ombellifère. Ouvrez l’œil !
Vous êtes ici à la Pièce d'Aval.Au nord, se trouve la partie principale de la forêt du Massacre, où vit le grand-Tétras.
Aujourd’hui,en raison de son très fort déclin, il est protégé par un Arrêté Préfectoral de Protection de biotopes qui encadre toutes les formes de circulation dans le Massacre (à pied, à ski, en voiture). Deux périodes particulièrement sensibles de la vie du grand-Tétras sont ainsi préservés du dérangement: l’hiver et la période de chant (reproduction).
La forêt du Massacre tient son nom d’un des nombreux épisodes guerriers qui opposèrent, du 13e au 18e siècle, Bernois, Vaudois, Savoyards et Français dans leur convoitise pour contrôler Genève. Au 16e siècle, Genève est devenu un important centre de commerce européen, au détriment de Lyon, Chalon-Sur-Saône et Dijon. Berne essaie d’y introduire le protestantisme et la Savoie de s’emparer de cette ville stratégique. François 1er, alors allié des Bernois, envoie en 1535 un détachement de mille mercenaires italiens défendre la ville. Remontant la vallée de la Valserine pour passer le col de la Faucille, sa troupe se heurte à l’armée du duc de Savoie. Repoussés en forêt des Monts au-dessus de Lajoux, ses soldats sont exterminés sous les coups des haches savoyardes.
La forêt du Massacre, ainsi que quatre autres zones forestières jurassiennes, bénéficie depuis 1992 d’un Arrêté Préfectoral de Protection des Biotopes pour la protection du grand tétras.Le grand tétras, icône du Haut-Jura, est un gallinacé des forêts de conifères. Il est facilement identifiable grâce à sa tête et son cou massifs, sa queue large qu’il déploie en éventail comme un dindon, ses pattes courtes mais très robustes. Le mâle a un plumage brun-noir avec des reflets verts et violets. Quelques taches blanches parsèment les plumes arrondies de la queue.L’aire de répartition du grand tétras s’étend dans le nord et l’est de l’Europe (Scandinavie, ouest de la Russie) mais il est également présent en Europe occidentale et centrale dans les zones de relief. Son habitat habituel est constitué par la taïga, les forêts de conifères et les forêts mixtes. Il se perche volontiers dans les arbres, marchant même sur les petites branches.Généralement farouche et prudent, el est plus facile à observer au printemps lorsque les mâles paradent. Les parades nuptiales sont spectaculaires et se déroulent dans un endroit spécifique préparé à cet effet et le l’on nomme généralement "lek" ou "place de chant" en raison des cris bizarres et gutturaux poussés par les mâles.Ce magnifique oiseau a connu une régression vertigineuse de ses populations jusqu’à la fin du XXème siècle. Autrefois chassé, il souffre encore aujourd’hui de l’exploitation intensive des forêts, des prédateurs et des multiples dérangements. Grâce à sa protection intégrale, ses effectifs se stabilisent à présent autour de quelques dizaines d’individus attestés dans le Jura.
Vous croiserez peut-être sur votre chemin des espèces remarquables qui font la qualité de la biodiversité du Haut-Jura. Certaines sont protégées par la loi, d’autres, bien que non protégées, sont notre patrimoine et doivent être observées avec soin. Nous avons décidé de vous parler de trois espèces que l’on aime bien.
Le lynx: C’est un mamifère qui est carnivore. C’est une sorte de gros chat tacheté avec des pinceaux au bout des oreilles. Le lynx est un animal peureux, discret, donc très difficile à voir. Mais on aime bien savoir qu'il habite nos forêts !
Le Le grand tétras: C’est comme une grosse poule avec des plumes colorées (marron, rouges, noires et vertes). Il peut voler mais ni très longtemps ni très haut (il peut se percher en haut des arbres). Il est très sensible au dérangement en hiver et au printemps.
L’orchidée: Il exioste beaucoup d'espèces d'orchidées. En juin et juillet on peut trouver sur ce sentier l'orchis sureau. Elle peut être rose fuschia pou bien vanille. Même si elle n'est pas protégée, il est préférable de ne pas la cueillir, ni évidemment l'écraser, ni l'arracher.
Nous comptons sur vous pour les protéger, rester discret et ne pas sortir des sentiers !
Manon et Jade
Ouvrez l'oeil ! Vous trouverez peut-être quelques empreintes et autres indices le long du chemin !Empreintes : Le sanglier a des sabots de plus de six centimètres de long et le chevreuil en a de moins de six centimètres.Le chevreuil a des bois faits d’une partis en os détachable. Pour repérer le sanglier ,on peut parfois voir de la terre retourner dans les champs.
Les excréments du chevreuil et du sanglier
Les excréments sont très utiles pour repérer l’animal dont le chevreuil, le renard et le sanglier...avec un bâton on peut regarder leur composition et savoir ce qu’il a mangé, de quel animal il s’agit.LALIE ET SACHA V.
Le geai des chênes est un oiseau aux couleurs vives, de la famille des corvidés. Principalement insectivore, il mange des vers, des larves, des glands et des faines…
Pour se débarrasser des tiques et autres petite bêtes, le geai a une technique: il va se poser sur une fourmilière pour faire peur aux fourmis. Elles vont alors se défendre en éjectant un acide formique qui va permettre au geai de se débarrasser des petites bêtes. Puis il les prend avec son bec et les met dans la fourmilière pour que les fourmis se nourrissent.
Maëlle et Laly
Découvrons un peu la faune locale par quelques indices. Si vous apercevez des petite crottes rondes, cela vous indiquera qu’un lièvre est passé par là. Le lièvre est herbivore et pour s’abriter, il creuse un terrier.
Vous pouvez reconnaître un renard grâce à ces traces de pas, presque identiques à celle du chien. Mais les doigts du renard sont plus écartés et il marche en ligne droite
Si vous voulez savoir s’il y a des écureuils dans les parages, regardez par terre les cônes d’épicéas s’ils ont été mangés ou pas.
Ellyne, Morgane et Néo .
Dans la forêt Jurassienne, il y a une majorité de hêtres, d’épicéas et de sapins, aux systèmes racinaires bien différents : les sapins ont leurs racines en pivot (des racines profondément enfoncées dans le sol vers le bas), les hêtres et les épicéas ont des racines traçantes (racines rampant à la surface de la terre) et les pins ont leurs racines obliques (racines enfoncées dans le sol et s’étalant à la surface). Ces arbres poussent sous un climat montagnard (un climat rigoureux). Ces arbres sont faits pour résister au froid et si le climat se réchauffe trop, certains, comme les épicéas, ne pourront pas survivre.
Erine et Neyssa
Les vaches mangent de l’herbe mais cela ne suffit pas.
Pour faire du lait, elles ont dû avoir un veau.
Pendant la journée, elles broutent. Matin et soir, elles vont en salle de traite.
Dans la nuit le camion qui vient de la fromagerie récupère le lait de plusieurs fermes. Tôt le matin, les fromagers font cailler le lait en le chauffant et en ajoutant de la caillette de veau (estomac) pour faire le comté. C’est la qualité de l’herbe qui détermine le bon goût du comté.
Emy et Sacha C.
Un arbre vit plusieurs dizaines (voire centaines) d’années si il est en bonne santé.
Attention, même s’il est debout, un arbre peut être mort lorsque son cœur est mort.
Comment reconnaître qu’un arbre est malade?
Quand un feuillu a les feuilles jaunes, marron ou rouges en plein été, par rapport aux autres qui ont leurs feuilles vertes, ça peut être signe de maladie.
Si un arbre est mort, on peut le reconnaître car il perd son écorce, ses feuilles sont de la même couleur qu’à l’automne, il peut avoir des trous ou des traces faites par des parasites comme le scolyte et il perd ses feuilles (ou ses aiguilles si c’est un résineux).
Mais les arbres morts ne sont pas un problème pour la forêt. Au contraire!
Clara et Candice
Le Jura est une chaîne de montagnes composée de plateaux. En effet, grâce aux montagnes des Alpes, le Jura s’est formé il y a des millions d'années. Tout ça a commencé avec les plaques tectoniques: elles se sont rencontrées et ont poussé très fort l’une contre l’autre. Au bout d’un moment, c’est monté pour former les Alpes, mais le Jura s’est plissé. Le Jura tire son nom d’une époque assez connue du temps des dinosaures: le Jurassique. Il ne faut pas oublier qu’il y avait la mer ici, avant. Grâce aux animaux morts qui se sont déposés au fond, des sédiments se sont formés. C’est pourquoi il y a beaucoup de calcaire et de fossiles par ici.
Thibaut et NINO
Ce sommet, somme toute assez discret, se révèle idéal pour embrasser le paysage de la Haute-Chaîne du Jura et des Hautes-Combes ponctuées du crêt de Chalam. En se déplaçant de quelques mètres, par beau temps, entre le passage du muret et le sommet, on peut apercevoir le Mont Blanc scintillant dans l’échancrure du Col de la Faucille.
Une tourbière, par définition, est une zone humide, colonisée par la végétation, dont les conditions écologiques particulières ont permis la formation d’un sol constitué d’un dépôt de tourbe.À cette altitude, dans le Haut Jura, les conditions climatiques sont très rudes : hivers très froids et longs, moyenne annuelle des température basse, précipitations abondantes et notamment en hiver avec la neige durant plusieurs mois, absence de périodes sèches de longue durée. Ces conditions géologiques et climatiques sont extrêmement favorables à l’installation de milieux naturels très originaux : les tourbières.Les tourbières jouent un rôle dans le cycle de l’eau naturelle, à la fois réserve d’eau et éponge puisque les mousses stockent l’eau, et épuration de l’eau par la tourbière qui joue le rôle de filtre.Ces milieux naturels abritent également de nombreuses espèces végétales et animales, insectes et oiseaux qui sont pour certaines protégées.Le programme Life Tourbière du Jura vise à réhabiliter leurs fonctions naturelles de purificateur et régulateur des masses d'eau, de puits de carbone qui absorbe les gaz à effet serre, de créateur de biodiversité remarquable.
Une combe est une vallée qui se forme au sommet d'un anticlinal. De chaque côté, elle est "enfermée" par des versants appelés des crêts. Le plissement au sommet d'un anticlinal favorise en effet l'érosion des couches calcaires. L'élargissement progressif des fissures provoquées grâce notamment à l'eau de pluie et au gel finit par former combes et crêts.
Ces habitations servaient à loger les bergers et leurs troupeaux durant la belle saison et à transformer le lait sur place. Les chalets étaient rustiques et sommaires, construits en pierres et en bois et ressemblaient certainement beaucoup aux premières maisons des défricheurs du Jura. La construction d’un chalet d’alpage nécessitait au préalable l’édification d’un four à chaux afin de fabriquer le mortier qui allait sceller les pierres et recouvrir les murs. Le chalet était généralement placé sur une croupe rocheuse. Ensuite des épicéas étaient coupés et des scieurs de long se mettaient à l’œuvre afin de tailler des poutres et des planches. Les tavaillonneurs s’occupaient quant à eux des tavaillons qui recouvrent le toit et parfois les murs. La toiture était généralement à quatre pans. L’intérieur du chalet se divisait en cinq pièces : la cuisine où l’on fabriquait le fromage ; le laitier, toujours dans l’angle nord, le plus froid, où était conservé pendant la nuit le lait de la traite du soir ; la cave à fromage ; l’étable pour les vaches et l’étable pour les veaux. Au milieu de la cuisine se trouvait un gros chaudron en cuivre, dans lequel cuisait le fromage. Les bergers quant à eux dormaient le plus souvent à l’étable, sur un matelas de branches d’épicéas recouvert de paille. L’âtre se résumait à un simple trou sur le sol en terre battue. Un trou dans le toit servait à évacuer la fumée et une trappe était refermée lorsqu’il pleuvait ou lorsque le feu était éteint.