PLAN IGN
Outdoor
Vous voilà prêt à attaquer les routes et cols empruntés régulièrement par les coureurs du Tour de France – là où ont eu lieu des combat inoubliables, des défaillances, des attaques de légende….
Un circuit qui flirte avec le Brionnais et l'Allier. Au départ du Village de Caractère du Crozet, vous traverserez étangs, prairies d'élevage charolais dans un circuit varié.
L'ambiance Gravel s'offre à vous durant ce beau circuit de 40 km. Découvrez un paysage spécifique de notre territoire : le bocage. Dans la campagne vallonnée roannaise, vous roulerez tranquillement à la découverte des beautés de la nature.
Au départ de l'aire de camping-car, aller direction du Bourg et passer sous la Grande Porte du village. Cette grande porte est l'un des rares vestiges de l'enceinte fortifiée du village. Descendre la ruelle puis continuer à gauche en bas sur la rue de la Poterne. Prendre ensuite la route Chez Bérard jusqu'à une patte d'oie où il faut prendre à gauche, une belle montée ! Après une bonne grimpette, prendre à gauche le chemin de "Chez Jolard". À la fin du chemin, prendre à droite le lieu-dit "Valière". Prendre après quelques centaines de mètres, sur la droite au bord d'un étang. Prendre ensuite sur la gauche en direction de la Croix Presle. Arrivé au lieu-dit, vous retrouvez un ensemble de maisons sur la droite, prendre à droite le chemin de Germugnon. Rejoindre la D52, prendre à droite cette départementale puis prendre à gauche la route de St-Bonnet des Quarts puis encore à droite la rue de la Cure. Il vous faudra pédaler pour cette montée jusqu'à la route de Saint-Bonnet à droite ! Traverser le village de St-Martin-d'Estréaux jusqu'à l'ancienne N7. Au carrefour suivant, prendre à droite la D52 en direction de Sail-les-Bains. Prendre la rue des Lilas pour ensuite retrouver la D52. Vous passez au-dessus de la célèbre N7, ancienne voie privilégiée des vacances de Paris à Menton ! Prendre à droite direction Chez Gatheron. Vous aurez l'impression de faire demi-tour en prenant à droite puis tout de suite à gauche au Château Morand. Continuer le chemin jusqu'à la fraîcheur de la forêt. Traverser le ruisseau des planches. La campagne roannaise s'offre à vous grâce à des chemins bordés d'étangs. Très ressourçant ! A un carrefour, prenez à droite vers les Fonds Floret et continuer jusqu'à rejoindre à nouveau la D52. Prendre à gauche, puis encore à gauche, un chemin en terre, le chemin du Lavoir, très ombragé. Continuer ce chemin jusqu'à la D46. Vous êtes dans le village de Sail-les-Bains ! Prendre 2 fois à gauche jusqu'au chemin des Étoiles. Prendre ensuite la 1ère à droite vers La Givre et rejoindre la D46 à nouveau en tournant à gauche. A quelques centaines de mètres, prendre une petite route direction Praz. Continuer celle-ci et prendre le 2e chemin à gauche, vous continuerez tout droit vers la D52 que vous traverserez. Soyez prudent lors de sa traversée. Suivre cette petite route jusqu'au bourg d'Urbise, petit village le plus au Nord du Roannais ! Traverser le village et prendre le chemin des Bobins jusqu'à la sortie. À gauche, puis à droite, et vous voilà sur la D8, la départementale qui traverse du Nord au Sud la Côte Roannaise. Pendant cette portion du parcours, restez sur vos gardes car cette route est très passante. Prendre à droite direction "Les Mazendas", suivre ce lieu-dit jusqu'au chemin des Mazendas puis des Cassins. Vous arrivez vers une exploitation où il y a des poulaillers, prendre le chemin de "Chez Belon" et suivre cette route jusqu'à la D8 à nouveau. Reprendre la 1ère à droite jusqu'à la D46. Vous retrouvez ensuite la N7, que vous longez puis que vous traversez via un pont sur la D8. Après le pont, prendre la 1ère à droite jusqu'à la route de Paris. Tourner à gauche. Avant le centre du village de La Pacaudière, prendre à droite direction la maison de Santé. En face de l'Ephad, tourner à droite sur le chemin du Tafret et suivre ensuite la route jusqu'au Crozet, votre point de départ !
A la campagne
A proximité d'une route nationale
Roannais Tourisme - 18/09/2024
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Soyez prudent à proximité de la N82
PLAN IGN
PHOTOS AERIENNES / IGN
CARTE DES PENTES (PLAN IGN)
Le circuit découverte du village invite le visiteur au bas-bourg où se situe ce lavoir, petit patrimoine communal restauré en 2016.
Remontons le temps au siècle dernier le travail des lavandières était dur et qui dit bas-bourg vous laisse imaginer la peine qu'avait les femmes pour pousser la brouette chargée de linge mouillé. Le lavoir était aussi un lieu d'échanges, de bavardages, les femmes aimaient à se retrouver pour un moment joyeux.
L' eau, élément fondamental à la vie était autrefois dispensée au moyen de fontaines, de puits privés ou communs. Authentiques de caractère, aux margelles exceptionnelles, ces puits restent impénétrables voire mystérieux.
Situés aux lieux de rencontre, ils rythmaient la vie des villageois. Ce patrimoine local, témoin d'une autre époque embellit les places et ruelles de la cité.
Ce Point Information est situé dans un village labellisé Village de Caractère. C'est un lieu d'information touristique. Des guides de randonnées, livres régionaux et cartes postales sont en vente ainsi que de l'artisanat local et des produits du terroir.
Au Nord du département de la Loire, au contact de la Plaine Roannaise et des Monts de la Madeleine, le village médiéval de Crozet campe fièrement sur son promontoire rocheux.
Si le site de Crozet permet d’observer la Plaine du Roannais, les massifs du Beaujolais, du Mâconnais et du Morvan, c’est aussi un village qui vous séduira par son incomparable architecture, témoin d’un passé prestigieux.
Au Nord du département de la Loire, le village médiéval de Le Crozet campe fièrement sur son promontoire rocheux. Attardez-vous à la Nouvelle Église près de laquelle vous découvrirez un panorama exceptionnel.
La Nouvelle Église a été construite en 1862 sur l’emplacement et avec les pierres de l’ancien château, grâce à Monseigneur Dauphin. Chanoine de St Denis et bien en cour sous Napoléon III, il obtint de l’Empereur et des courtisans les fonds nécessaires à la construction de l’église, alors que l’ancienne chapelle menaçait (déjà) ruines.
Il fut d’ailleurs enterré dans le bas-côté gauche et les anciens du village racontent qu’il s’y passe d’étranges choses à chaque année bissextile.
Musée d'Art et Traditions Populaires dans un logis à tourelle du XVIe siècle, seule maison de Crozet visitable entièrement. Reconstitutions d'ateliers, métiers anciens, salle historique, exposition temporaire et bibliothèque importante sur la région.
Ce musée très intéressant vous permettra d'admirer des objets insolites du passé ainsi que l'histoire du Crozet et de la fameuse N7.
Expositions temporaires de Juin à Septembre.
L'Association des Amis du Vieux Crozet et La Pacaudière créée en 1948, acheta ce petit logis pour y installer, en 1959, un musée d'arts et traditions populaires donnant ainsi la possibilité aux touristes de pénétrer dans un intérieur typique de l'époque gardant le témoignage d'objets et d'histoires locales.
Au rez-de-chaussée se trouve des ateliers de métiers anciens (sabotiers, maréchal-ferrant, métiers du bois…)
En empruntant l'escalier à vis, vous vous retrouverez dans le cadre d'un intérieur paysan, animé par les objets de la vie courante d'autrefois. A cet étage se trouve également une salle d'exposition et une salle historique de Crozet et La Pacaudière.
Le deuxième étage est constitué par une bibliothèque d'histoire régionale importante mais aussi une biographie et des souvenirs de Jean Papon, illustre juge Royal et Lieutenant Général au baillage du forez, né à Crozet en 1500.
Cette cité médiévale, devenue " Village de Caractère ", " Village du Verre " en 2011, puis "petite cité de caractère " en 2022, ses maisons du XIIIe, XVe et XVIe, font le bonheur des visiteurs charmés par l'ordonnance de ce village calme et fleuri.
A l'entrée Nord du département de la Loire et de la région Rhône-Alpes, près de La Pacaudière, sur la Nationale 7, le village médiéval du Crozet vous offre un voyage à travers l'Histoire du Comté du Forez.
Autrefois, l'une des 4 places fortes du Roannais, le bourg était un lieu de grandes foires marchandes et un site stratégique des plus important, comme le prouve le magnifique panorama sur la plaine roannaise qui permettra d'admirer un paysage à couper le souffle, du Morvan aux monts du Lyonnais.
Point de passage obligé entre plaine du Roannais et monts de la Madeleine, le site de Crozet a connu une longue période de prospérité au Moyen-Âge et pendant la Renaissance. Vous pourrez découvrir un site magnifiquement restauré et fleuri, où les nombreux bâtiments datant du XIIe au XVIe siècles vous donneront un large éventail des différentes architectures traditionnelles du Comté du Forez à ces époques.
Lieu idéal pour une promenade en famille ou entre amis, le village, à proximité des grands axes de communication, a su se préserver des vicissitudes de la vie moderne et demeurer un havre de Paix.
Vous pourrez terminer votre visite par un passage au Musée des Arts et Traditions Populaires, installé dans un logis à tourelle du XVIe siècle, seule maison du village ouverte au public.
Visite guidée sur réservation auprès des amis du Vieux Crozet et de La Pacaudière.
Le château est privé et appartient à M. Lambert-Daverdoing, datant du Moyen-Age, mais largement remanié avec une façade Renaissance et un corps du XVIIIe siècle. Jardin à la Française avec de majestueux cèdres du Liban sont un repère pour les promeneurs.
Créé avant 1130 par les Sires de Beaujeu en lutte contre les comtes du Forez et classé monument historique depuis 1981, ce château est situé sur la route D 52 en direction de Montaiguët-en-Forez. De la route on n’apercevra que la conciergerie, permettant l’accès au parc. Il faut prendre la route de Sail-les-Bains pour découvrir l’arrière massif de la bâtisse.
Histoire
Du XIème siècle à la guerre de Cent ans.
En 1190, par donation des Beaujeu, cette maison revint au seigneur local, Eustache de Châtelus. Cette branche cadette des Châtelus, vassale des ducs de Bourbon, joua un rôle prépondérant dans la lutte contre les Anglais dans la seconde partie de la Guerre de Cent ans, en particulier avec le duc Louis II.
En 1356, Hugues de Châteaumorand, seigneur banneret, est premier baron du Bourbonnais. Il est armé chevalier le matin même de la bataille de Poitiers, par le roi, Jean le Bon. Il finance de ses propres deniers la construction du Cloître des Cordeliers de Charlieu, où se trouvent actuellement, son gisant et celui de son épouse.
Son fils, Jean de Châteaumorand, fut le grand homme de la famille, ami de Duguesclin, chef de guerre, diplomate et chroniqueur. Il négocia, en 1396 le mariage de la fille de Charles VI avec le roi d’Angleterre, ainsi que le rachat des captifs de Nicopolis. En 1400, il est capitaine pour le roi de France de la cité de Constantinople, assiégée par Bajazet.
Il ne laissa qu’une fille, Agnette, mariée en 1424 à Brémond de Lévis.
Le vitrail de l’église de Saint- Martin les représente tous les deux.
La Renaissance
Après la guerre de Cent ans, commencèrent les guerres d’Italie. Jean de Lévis-Châteaumorand fit toutes les campagnes avec François Ier qui le prit en amitié et le fit, en 1532, gouverneur de son fils cadet, le duc d’Orléans, futur Henri II.
Vers 1520, conquis par le Quattrocento, il fit démolir la forteresse féodale pour ériger un château renaissance.
Son frère et héritier, Antoine de Lévis, évêque de Saint-Flour, termina l’œuvre.
Son héritière fut sa nièce, Gabrielle de Lévis-Charlus mariée à Antoine Le Long de Chenillac. Ils n’eurent qu’une fille.
Diane de Châteaumorand (1558-1626), fut célèbre par sa beauté et ses mariages successifs avec Anne d’Urfé, bailli et gouverneur du Forez, puis Honoré d’Urfé, baron de Châteaumorand (1567-1625).
Honoré d’Urfé écrivit à Châteaumorand les deux premiers livres de l’Astrée, célèbre roman pastoral. Diane de Châteaumorand fit son testament en faveur de son neveu, Jean-Claude de Lévis-Charlus à charge de prendre le nom et les armes de Châteaumorand qu’il fit ériger en marquisat.
Du XVIIIème à nos jours
Après une période médiocre, au début du XVIIIème siècle, François-Charles de Lévis renoua avec la gloire militaire de ses ancêtres.
Lieutenant-général des armées du Roi, il participa à toutes les guerres de Louis XV. Pour moderniser Châteaumorand, il fit démolir à partir de 1759, une partie du château renaissance pour le remplacer par une grande façade à la Mansard.
Une de ses filles épousa Gaston de Lévis-Leran, héritier du marquisat de Mirepoix et du Maréchalat de la Foi. Il succéda à son beau-père comme lieutenant-général du Bourbonnais, brillant mariage mais qui fut néfaste pour Châteaumorand, délaissé au profit de l’Ariège, où se situe la ville médiévale de Mirepoix. A la Révolution, les exactions des districts révolutionnaires furent sévères.
La Restauration et l’Empire furent des périodes brillantes, ce qui amena la descendante des Lévis, la comtesse du Hamel à aliéner Châteaumorand resté dans sa lignée depuis 680 ans.
Châteaumorand fut acquis en juin 1877 par Monsieur Sigisbert Maridet et reste depuis cette date, la propriété familiale.
Le château actuel a conservé derrière sa grande façade à la Mansard des éléments de ses transformations successives.
Offert par la Famille Levy-Châteaumorand, il représente : une adoration des mages avec offrande à la Vierge, une crucifixion avec la Vierge et St Jean l'Evangéliste. Les donateurs agenouillés St Jean-Baptiste et son agneau l'apôtre Jacques vêtu en pèlerin
La commune de Saint-Martin-d'Estreaux se situe au nord du territoire de Roannais Agglomération. La RN7 traverse la commune d'est en ouest et la RD8 passe à l'est du territoire communal. La commune est partiellement identifiée en zone de montagne.
Population totale (2023) : 850 habitants
Superficie : 29,6 km²
Densité : 28 hab/km²
Nom des habitants : les Saint Martinois
Zones d'Activités Economiques : 2 ZAE (niveau 3 : intérêt local) Noisette et Rochère
Entreprise phare : Ets Valeyre
Commerces : 2 boulangeries, 1 épicerie, 1 boucherie-charcuterie, 1 restaurant, 1 tabac presse, 1 coiffeuse
Services et services publics : 1 bureau de poste, 1 banque
Equipements Petite enfance-jeunesse et établissement scolaires : 1 groupe scolaire regroupant maternelle et élémentaire, 1 accueil de loisirs 3-17 ans
Equipements culturels : 1 salle des fêtes, 1 bibliothèque
Equipements sportifs : terrain de tennis, terrain foot, city stade
Equipements et services de santé : 2 médecins, 1 dentiste, 2 infirmières, 1 pharmacie
Hébergements touristiques : 1 chambre d’hôtes, 1 hébergement collectif, 1 gîte
Sites touristiques principaux : 2 sentiers de randonnées
Evènementiels : Marche en pays de Jars (11 novembre), rassemblement pacifiste du 11 novembre
Lignes de Transports en Commun : La ligne 12 du réseau Roannais Agglomération dessert la commune (2 arrêts).
Nombre d'exploitations (2010) : 26 exploitations ont leur siège sur la commune
Superficie Agricole Utilisée (2010) : 1726 ha
Appellation d’Origine Contrôlée (AOC) : AOC Boeuf de Charolles
Monuments historiques Monuments Classés : Monument Inscrit : Château de Chateaumorand (communs), le monument aux morts ; Monument Classé : Château de Chateaumorand (en totalité)
Village situé à flanc de coteau à la frontière de l’Allier, à mi-chemin entre Roanne et Vichy. Son histoire est marquée de tout temps par la présence de la route : voie romaine, voie royale, route nationale 7, conduisant de Paris à Lyon.
Saint-Martin-d'Estreaux a su profiter du contournement routier. (Déviation en 2002) Avec son patrimoine inscrit ou classé, le vitrail de l’église XVe siècle, le monument aux morts, très rare en France pour son inscription pacifiste, un étang ouvert à la promenade et à la pêche, de beaux circuits de randonnée « La montagne de Jars » et « Châteaumorand ».
Ce monument est un farouche réquisitoire contre la guerre. Imaginé en 1918, édifié en 1922, objet de vandalismes dans les années trente, il ne fut inauguré qu’en 1947 lors de l’inscription des victimes de la guerre de 39-45.
L’histoire du monument débute comme partout en France par une délibération du conseil municipal en date du 8 décembre 1918. Pierre Monot , le maire de l’époque, veut « quelque chose de bien qui ait son originalité locale, sinon il préfèrerait ne rien faire du tout ». On évoque déjà l’idée de faire figurer les portraits émaillés des soixante quatre disparus.
Les plans du sculpteur roannais Jean-Baptiste Picaud sont présentés en séance du 25 janvier 1920, et le plan de financement faisant état des diverses subventions le 30 octobre 1921.
Le monument est érigé en 1922 sur la place de l’Église.
La grande originalité du monument est le texte pacifiste qui figure au dos et dont on ne trouve aucune trace dans les délibérations. Elles ont été gravées en 1928.
Le 4 décembre 1930, le monument est dégradé, son caractère pacifiste et antimilitariste ne semble pas plaire à tout le monde comme en témoigne la circulaire anonyme diffusée peu avant et intitulée « Le scandale du monument aux morts ». Ce tract appelait les anciens combattants à « exécuter le nettoyage nécessaire et débarrasseront leurs camarades de l’intrus et de sa protestation contre la guerre. »
Un second acte de vandalisme sera commis le 31 janvier 1932.
Ce monument est inscrit en 1989 par décret préfectoral sur l’inventaire supplémentaire des monuments historiques. Il est désormais classé "monuments historiques"
Il a fait l'objet d'un gros travail de restauration en 2017.
Le nom de Sails-les-Bains viendrait du latin "salio" qui est égal à "je jaillis". Ancienne station thermale connue pour la qualité de son eau, son usine d'embouteillage y est implantée.
Une église romane du XIIIème siècle est inscrite aux monuments historiques. Au XVème et XVIème siècle, trois chapelles se sont greffées sur la nef et le chœur. Une fresque d'anges musiciens datant du XVème siècle est présente. Un sentier de randonnée permet de découvrir le village et ses environs.
Cette église est composée d’une seule nef éclairée par trois vitraux de forme ogivale. Elle abrite une statue de la Vierge en bois peint mesurant 20 cm. La légende prétend qu’elle aurait été trouvée miraculeusement dans le cœur d’un chêne par des scieurs.
Au XVIIe, Urbise aurait été un lieu de pèlerinage important, mais nul ne sait si cette petite Vierge, enchâssée et vénérée des fidèles, est à l’origine du phénomène.
La commune d'Urbise se situe en limite nord du territoire de Roannais Agglomération. La RD8 traverse la commune du nord au sud.
Population totale (2011) : 136 habitants
Superficie : 15,5 km²
Densité : 9 hab/km²
Nom des habitants : les Urbisois
Equipements Petite enfance-jeunesse et établissement scolaires : 1 école maternelle (20 élèves)
Sites touristiques principaux : 1 sentier de randonnées
Superficie Agricole Utilisée (2010) : 1381 ha
Appellation d’Origine Contrôlée (AOC) : AOC Boeuf de Charolles, AOC Charolais
Urbise est le village le plus au nord du département de la Loire... Étangs, rivières et prairies, découvrez ces paysages bocagers caractéristiques du Nord du département.
La motte féodale, sorte de fortification en terre, et le bois de Lafey témoignent de l'ancienneté du village. Mais c'est à l'église que les images du passé sont les plus marquantes…
Avec ses 1000 habitants, à 25 minutes de Roanne, aux confins de l'Allier et de la Saône et Loire, La Pacaudière se veut une collectivité active, attractive et cultivant la qualité de son cadre de vie.
Il faut remonter au XVème siècle pour trouver trace du hameau de quelques maisons entourées de bois et d'une famille PACAUD qui allait devenir La Pacaudière.
C'est sans nul doute le tracé de la Route Royale de Paris à Lyon qui allait assurer, au cours des siècles suivants l'essor du village. Sa place centrale témoigne aujourd'hui de cette fonction de bourg étape avec de magnifiques demeures, la Maison Morin (1420), la Maison Notre-Dame (XVIème siècle) et évidemment le Petit Louvre construit au XVIème siècle.
Fidèle à son histoire et à sa tradition d'accueil et d'étape sur l'ancienne Route Royale devenue RN7 entre Paris et la Provence, La Pacaudière est fière de son patrimoine remarquable, et notamment son Petit Louvre, mais aussi de ses commerces, services, chambres d'hôtes, gîtes, camping, équipements sportifs, chemin de randonnée... Votre séjour chez nous se déroulera dans le calme verdoyant de nos paysages.
Mais La Pacaudière, ce sont aussi des artisans, des entreprises, des services publics, des professionnels de santé, une offre scolaire, éducative et associative qui nous assurent, au quotidien, une vie pratique et agréable.