Sur les routes du Tour de France

Explorez les sous-bois entre les vallées de l’Ain et de la Bienne. Vous découvrirez un belvédère sur leur confluence. Hameaux et prés-bois jalonneront le parcours.


Au poteau « Lac de Chanon », suivre la route à l’ouest sur 50 m (« Côte de Venière »), la piste à gauche sur 1,2 km et le chemin à gauche jusqu’au « Chemin de Cruzille ». > Variante courte (niveau très facile, 1 h 40, 5 km, dénivelée de 143 m) : tourner à gauche, suivre la piste à gauche, la D 295 à gauche et gagner « Chanon » (7)
Poursuivre par le chemin (direction « La Meille), puis continuer à droite. À la ligne électrique (> point de vue sur le barrage de Vouglans), prendre tout droit (sud-ouest) le chemin de terre. En gardant la direction, passer « La Meille », descendre à « Courbet » et atteindre « Nezan ».
Prendre la route à gauche (direction « Montclusel »), en coupant le premier lacet, sur 1,2 km. Franchir le col et, 50 m après, descendre par le chemin à droite.
À « Montclusel », emprunter la rue de la Niella. À « La Neilla », suivre la piste à droite (direction « Cul de la Pra »). Elle mène au point de vue (> sur la confluence de l’Ain et de la Bienne, le lac de Coiselet, à l’ouest le pic d’Oliferne, à l’est la Pierre qui Vire). Continuer par la piste au sud sur 700 m.
Prendre la piste à gauche (est). Elle s’oriente au nord. Passer « Le Cul de la Pra », puis monter à « Grande Serve ». Dans le hameau, suivre la route à droite (direction « La Queille ») sur 800 m, puis descendre par la piste à droite. Elle domine Douvre (> vue sur le hameau).
Au poteau « Les Vignes », dans le lacet, poursuivre en face (direction « Chanon »). Au fond de la pâture, gravir le sentier caillouteux, longer le pré et continuer vers le nord par le chemin creux.
Traverser « Chanon » par la D 295. « Au Côtard », partir à droite sur le chemin qui fait le tour du lac. Prendre la D 295 à gauche et retrouver le point de départ.

PATRIMOINELes maisons à galerieLes maisons de Lect, comme celles de la basse vallée de la Bienne et de la Petite Montagne, ont ceci de particulier dans le Jura qu’elles présentent des balcons appelés justement galeries. À l’origine, ces galeries n’étaient que des platesformes situées sous l’avancée du toit. Certaines ne pouvaient pas être atteintes de l’intérieur de la maison, sur d’autres, on ne peut que sauter par la fenêtre de la chambre haute ; c’est dire qu’elles n’étaient nullement destinées à jouer le rôle des balcons actuels. Elles servaient au stockage du maïs, mais aussi des bûches et du buis, utilisé dans les ateliers de tournerie. Au fil du temps, ces galeries se sont transformées en de véritables balcons, dont certains sont toujours garnis d’épis de maïs.