Sur les routes du Tour de France

Datant du XIXème siècle, elle est de plan allongé avec une haute nef cantonnée de bas-côtés, bénéficiant ainsi d'un éclairage direct. Comme pour la plupart des églises de cette période, le clocher est placé en façade et repose sur une travée séparée du reste de la nef, formant un porche. La nef se compose de sept travées couvertes de croisées d'ogives barlongues et se termine par un choeur pentagonal, précédé d'une travée droite.
A remarquer les vestiges de l'église primitive : une tête dans la première travée au nord, quelques sculptures dans le chevet et dans le mur de la sacristie. A voir également : les boiseries du choeur et les vitraux historiés contemporains, oeuvres données par les seigneurs du lieux. Elle possède une belle collection de vitraux.

Logis abbatial médiéval, inscrit à l'inventaire supplémentaire des Monuments Historiques. Extérieur : baies à meneaux, modillons, rondelis, fleuron, Intérieur : tour hexagonale à vis, cheminées du XVème s., coussièges, linteaux avec accolades ou chanfreins, contreplaque de cheminée armoriée du Marquis de La Meilleraye classée Monument Historique du XVIIème s. Jardins : Jardin médiéval, et jardin avec pergolas, tonnelles, roseraie, lapins de compagnie...

Belle exemple de bois de feuillus typique de Gâtine.

Le parc "Mouton Village" est le 1er Parc en France à accueillir une vingtaine de races ovines du monde entier. Un site exceptionnel de 6 hectares en pleine nature, classé refuge LPO, un arboretum de 4000 arbres (110 essences) où il est si doux de flâner à travers les nombreux espaces de détente.

Affluent en rive gauche du Clain, la Boivre, rivière de 1ère catégorie, prend sa source sur la commune de Vasles qui se trouve dans le département des Deux-Sèvres. Elle s’écoule d’ouest en est et rejoint la rivière du Clain sur la commune de Poitiers, au niveau de la gare. Le linéaire de son cours d’eau et de ses affluents s’étend sur environ 70 km. la Boivre est appelée localement la rivière aux castors.

Il s'agissait d'un château fort datant du XIIIe siècle.
Bien que les ouvertures du logis aient été modifiées au XVIIe siècle, le corps central présente une certaine homogénéité qui permet de le dater du XVe siècle. Entre 1850 et 1880, d'importants travaux ont supprimé les ailes et le pigeonnier. C'est également à cette époque qu'est construite la chapelle néo-gothique. Couvert d'ardoises, il se compose d'un vaste corps de logis s'élevant sur trois niveaux, cantonné de deux tours circulaires, de deux pavillons d'angles et d'une chapelle. Un parc entoure le château, composé de quatre parties : l'ancienne cour traitée en boulingrin, le jardin de style classique, le potager et son bassin, et une charmille. Inscrit aux Monuments Historiques

Rivière de 1ère catégorie, affluent en rive gauche du Clain, l’Auxance prend sa source sur la commune de Saint-Martin-du-Fouilloux dans le département des Deux-Sèvres. Son cours d'eau et celui de ses affluents comptabilise un linéaire d'environ 140 km.
Une partie classée en "Site Natura 2000" grâce à la qualité de ses eaux courantes et oxygénées. Elles accueillent une importante population d’écrevisses à pattes blanches. La présence du Chabot et, surtout, de la Lamproie de Planer, espèces inféodées également aux eaux pures et oxygénées, s’ajoute à l’intérêt du site.

Le prieuré Saint-Jacques de l'Habit Mangot est cité en 1219 dans une bulle d'Honorius III. Il était tenu par des chanoines de l'ordre de Saint-Augustin, et dépendait de l'abbaye de La Réau.
En 1518, Jean Boucard est prieur à l'Habit Mangot. En 1712, le prieuré est réuni au petit séminaire de Poitiers. Une déclaration de 1692 nous apprend que ce prieuré n'avait que de vieux bâtiments et une chapelle ruinée. De ce vaste ensemble, il ne reste que quelques vestiges de l'ancienne prieurale, d'un four à pain et d'un pigeonnier.
Le site est, actuellement, principalement occupé par des bâtiments de ferme. Les restes de la prieurale servent de hangar pour le bétail. Le mur de façade est construit en pierre de taille de qualité soignée. Il s'ouvre d'un portail en arc en plein-cintre.

Bel exemple de logis néo-classique, cette demeure a été construite à la fin du XIXe siècle, à proximité de l'ancienne seigneurie du même nom. D'une grande simplicité, ce logis adopte un plan en H avec un corps central en retrait par rapport aux deux pavillons qui l'encadrent. Les hautes toitures d'ardoises sont traitées séparément selon les corps et sont éclairées par des lucarnes à fronton semi-circulaire.