PLAN IGN
Outdoor
Vous voilà prêt à attaquer les routes et cols empruntés régulièrement par les coureurs du Tour de France – là où ont eu lieu des combat inoubliables, des défaillances, des attaques de légende….
Voici un parcours “vitrine” de la capitale du Doubs en gravel. Vous y découvrirez les places fortes de la ville, tout en vous échappant facilement le long des rivière et dans les bois. Un condensé de la richesse culturelle et naturelle du département, en mode “urbex”.
En partant du centre ville piéton, rejoignez le lit du Doubs côté Nord, traversez le pont piéton au niveau de la Rodia, puis prenez immédiatement à droite le sentier qui longe les berges. Une barrière vous oblige à un crochet mais revenez sur les berges au niveau de la friche industrielle de la Rhodiacéta, d’où vous pourrez slalomer entre les herbes folles. Jusque là tout est plat.
Avant d’arriver sur Chalezeule, montez à gauche dans les bois par un sentier en escalier, le long des maisons. Vous arrivez alors sur une superbe route balcon cabossée. Enfoncez-vous à gauche dans le bois de Chalezeule, puis ressortez au niveau du chemin de fer, direction l’aérodrome de Thise. Vous traversez Thise, où vous pouvez vous ravitailler dans les commerces locaux, avant de partir serpenter sur les sentiers sauvages du bois de Chailluz.
Nouvelle transition dans la ville pendant quelques hectomètres. Vous bifurquez sur le fort Benoît, continuez de grimper dans les chemins jusqu’à l’imposant fort de Brégille, puis descente majestueuse sur Besançon, avec vue imprenable sur la citadelle. Retour au centre ville.
On vous conseille de réaliser la boucle dans ce sens-là, pour éviter les côtes cassantes.
PLAN IGN
PHOTOS AERIENNES / IGN
CARTE DES PENTES (PLAN IGN)
03 81 80 92 55
Horaires d'accueil : du lundi au samedi, de 10h à 12h30 et de 13h30 à 18h.
Edifié au XIXème siècle sur le mont de Bregille à Besançon, le Fort est l'un des rares monuments militaires bisontins construit après Vauban.
Construit en pleine nature, ce site domine Besançon d'une centaine de mètres et offre un beau panorama sur la ville et la citadelle.
Chef-d’œuvre de Vauban inscrit au Patrimoine mondial de l'UNESCO, la Citadelle de Besançon est considérée comme l’une des plus belles de France. Elle surplombe de plus de 100 mètres la vieille ville de la capitale comtoise enserrée dans un méandre de rivière, et offre des panoramas spectaculaires. Haut lieu culturel et touristique, la Citadelle tient sa promesse : celle d'un patrimoine vivant fort en émotions.
Aujourd’hui elle abrite trois musées de France dédiés à l’Histoire, la mémoire et la biodiversité animale. Le muséum s’articule autour de six espaces animaliers : Jardin zoologique, Insectarium, Noctarium, Aquarium, P’tite ferme, introduits par le Naturalium qui présente la notion de biodiversité. Au Musée comtois la Franche-Comté se révèle à travers son artisanat, son industrie, ses divertissements, ses croyances... Le musée de la Résistance et de la Déportation offre un témoignage fort et émouvant sur cette partie sombre de l’histoire du XXe siècle, avec des objets et documents originaux. Un spectacle immersif invite à un véritable plongeon dans le passé à la découverte des moments forts qui ont marqué l’Histoire de Besançon et de la Citadelle.
03 81 87 83 33 - www.citadelle.com - Temps de visite : 1/2 journée.
Cette maison qui a vu naître le poète le 26 février 1802 célèbre les engagements et les principaux combats de l’auteur.
Lieu d’exposition, accessible à tous, pédagogique et attractif, la maison de Victor Hugo n’est pas conçue comme un musée mais comme un espace vivant, de réflexion, s’appuyant sur des thématiques chères au poètes et qui sont aujourd’hui encore au coeur des grands enjeux sociaux, idéologiques et politiques : Liberté d’expression, misère-égalité-justice, enfance-éducation, liberté des peuples-République seront traités au premier étage, tandis que le rez-de–chaussée ancre davantage Hugo dans sa ville natale, enfin la cave voûtée devient un lieu polyvalent dédié à l’évènementiel.
Tel : 03 81 87 85 35 - Mail : secretariat.maisonsdesecrivains@besancon.fr - Web : maisonvictorhugo.besancon.fr
Depuis Mégevand en 1793 qui créa « la Manufacture française d’horlogerie » et installa à Besançon quelque 700 horlogers suisses, l’histoire de la ville et de l’Horlogerie sont intimement liées. Véritable trait d’union entre la tradition horlogère du Haut-Doubs et l’ingénierie de la mesure du temps dont Besançon s’est fait une spécialité, le musée du Temps invite à pousser encore plus loin la connaissance jusqu’au inventions horlogères du XXIe siècle. Installé dans le majestueux Palais Granvelle au cœur de la vieille ville, cet espace unique donne les clés de la technique horlogère et propose une approche à la fois scientifique et sensorielle en rappelant l’excellence de l’industrie horlogère bisontine qui a su se convertir pour devenir le pôle mondial du Temps fréquence.
Après plus de 4 ans de fermeture pour cause de lifting complet, le musée des Beaux-Arts et d’Archéologie a rouvert ses portes sur la plus ancienne collection publique française. Une réhabilitation de grande envergure signée par l’architecte Adelfo Scaranello qui offre aux visiteurs 3 600 m2 d’expositions (un gain de 1 000 m2) et un parcours à la fois chronologique et thématique plus cohérent allant des espaces archéologiques aux collections de peintures et objets d’art, selon une muséographie inédite. De nombreux chefs-d’œuvre gardés jusque-là dans les réserves du musée s’offrent à la découverte et un tout nouvel espace d’arts graphiques met en avant la richesse de l’extraordinaire collection de dessins par roulement.
Salles d’expositions temporaires, de conférences, de pratique artistique et un salon de médiation complètent le musée nouvelle génération accessible à tous et ouvert sur les nouvelles technologies du XXIe siècle telles que des bornes tactiles ou un médiateur virtuel sur tablette ou smartphone qui donne accès à des commentaires audio et vidéo sur une sélection d’œuvres…
www.mbaa.besancon.fr/
Oeuvre maîtresse de l'architecte Nicolas Nicole, les travaux commencés en 1746 s'étendent sur toute la moitié du XVIII siècle. Les deux tours sont terminées en 1830. L'intérieur du sanctuaire est organisé en trois nefs, rythmées par des colonnes, couplées et posées sur d'imposants stylobates. L'unité architecturale de l'ensemble fait de cette église un modèle d'architecture religieuse du XVIII siècle.
Construite de 1739 à 1745, elle est l'œuvre de l'architecte bisontin Nicolas Nicole. Autrefois chapelle du couvent du Refuge, elle fut rattachée à l'hôpital St Jacques en 1802.
Le long de la Gare d'Eau vous pourrez admirer les Fortifications Vauban de toutes parts.
Les fortifications de Vauban à Besançon, ce n’est pas seulement la citadelle mais plusieurs édifices et ouvrages dans le centre ancien de la ville et dans le quartier Battant sur la rive droite du Doubs.
On peut regrouper les fortifications de Besançon en trois ensembles :
1. La citadelle,
2. L’enceinte de la Boucle (en venant de Beure, depuis Tarragnoz jusqu'à la route de Pontarlier : la tour Notre-Dame, les remparts de la gare d’eau, six tours bastionnées, le quai Vauban, la porte Rivotte, la porte taillée),
3. L’enceinte de Battant (avec le fort Griffon, le glacis, la tour Montmart ou tour carrée, les remparts du parking Battant).
Soit 195 hectares et plus de 10 km de remparts.