PLAN IGN
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Vous souhaitez changer vos escapades à vélo, sortir des itinéraires de plaine et vous lancer dans l’ascension de cols de montagne. Vous n’avez que l’embarras du choix, tous plus beaux les uns que les autres, le cyclotouriste que vous êtes ne pourra qu’apprécier ces parcours.
Découvrez ces cols de légende, venez parcourir des itinéraires grandioses. Ces circuits sont uniques et il est certain qu’ils ne vous laisseront pas insensibles et resteront longtemps dans vos mémoires…
Parking de la Mairie
Parking de la Mairie
PLAN IGN
PHOTOS AERIENNES / IGN
CARTE DES PENTES (PLAN IGN)
Son pelage est brun-gris au-dessus et gris à gris jaunâtre au-dessous. Sa queue est un peu plus foncée dessus que dessous. L'intérieur de ses oreilles est presque dénué de poils. Il se reconnaît des autres campagnols par sa coloration plus claire et sa queue plus courte. Ce mammifère est plutôt nocturne, surtout en été. Il affectionne les prairies pâturées, les talus enherbés, les champs de luzerne. En revanche, il évitera les prairies très humides et les grandes herbes. On le rencontre également en montagne à de hautes altitudes. Son nid est fait d'herbes et de tiges, parfois dans un réseau de galeries, parfois à la surface.
Le campagnol des champs est omnivore ; sa nourriture est essentiellement composée de luzerne, d'herbe, de céréales, de racines des plantes cultivées et sauvages, et parfois d'insectes.
"Colchiques dans les prés c’est la fin de l’été", chanson de Jacqueline Debatte qui nous renseigne sur sa période de floraison en automne, même s’il existe des cas de floraison au printemps. La fleur est rose lilas, rarement jaune, et elle possède 6 étamines, contrairement au crocus qui en possède trois. Une autre différence repose sur les feuilles qui sortent au printemps pour entourer le fruit. Attention cette plante est extrêmement toxique (à partir de 40 mg pour l’homme) car elle renferme de la Colchicine, molécule provoquant de graves troubles. De nombreux cas aussi d’intoxication du bétail ont été remarqués. Son habitat en bois et prairies humides est en régression, ses observations sont donc moins fréquentes.
Le Milan Royal est un rapace que l’on retrouve très souvent dans le Comminges, près de forêts ouvertes ou de bouquets d'arbres avec des zones herbeuses et des terres cultivées proches. On le reconnaît grâce à son plumage brun-roux avec une tête blanchâtre et ses taches blanches sous les ailes : c'est ce qui se voit le mieux quand il est en vol et permet le mieux de l’identifier. Ce rapace est souvent confondu avec la buse variable, qui elle n’a pas la tête blanche, et possède une queue plate alors que celle du milan a la forme d’une fourche. Il mesure en moyenne 60 à 65 cm pour 1,75 m d’envergure (d’un bout d’une aile à l’autre aile dépliée). Le Milan Royal a les iris ambrés, ce qui lui procure une vue excellente pour repérer ses proies, de près de huit fois supérieure à celle d’un humain.